Optimisez la qualité de l’air intérieur en hiver grâce à cette astuce essentielle

Combien de temps aérer en hiver ?

Pas besoin de laisser vos fenêtres ouvertes trop longtemps pour renouveler l’air efficacement. Voici les bonnes pratiques :

• Ouvrez grand les fenêtres pendant 5 à 10 minutes, deux fois par jour.
• Créez un courant d’air en ouvrant plusieurs fenêtres ou portes simultanément.
• Concentrez-vous sur les pièces clés : chambres, salon, cuisine.

Cette méthode permet de chasser les particules polluantes et de réduire l’humidité, tout en limitant la perte de chaleur.

Quand aérer pour éviter les photos de pollution ?

En hiver, l’air extérieur peut aussi être pollué, notamment en milieu urbain. Voici les moments les plus favorables pour aérer :

• Entre 8h et 11h : les niveaux de pollution sont souvent plus bas.
• Après 22h : la circulation et les activités humaines diminuent, ce qui purifie l’air ambiant.
• Évitez d’aérer entre 14h et 18h, périodes souvent marquées par des photos de pollution.

Aérer pour des économies d’énergie

Ouvrir ses fenêtres en hiver peut sembler contre-intuitif quand on cherche à garder son intérieur chaud. Pourtant, cela peut aider à réduire vos coûts de chauffage. Voici pourquoi :

• Évacuation de l’humidité : Un air trop humide est plus difficile à chauffer. En renouvelant l’air, vous facilitez le fonctionnement de votre système de chauffage.
• Conservation de la chaleur : Les murs, meubles et sols ne refroidissent pas en seulement 10 minutes, limitant ainsi les pertes thermiques.

Astuce : Pensez à couper votre chauffage pendant l’aération pour éviter de gaspiller inutilement de l’énergie.

En résumé : bien aérer, c’est sain et économique

Pour un intérieur sain et confortable en hiver :

• Aérez deux fois par jour, pendant 5 à 10 minutes.
• Faites-le aux heures les moins polluées.
• Coupez votre chauffage pendant l’aération.

Non seulement votre maison sera plus agréable à vivre, mais vous préserverez également votre bien-être tout en maîtrisant vos dépenses énergétiques. Comme le disaient nos grands-mères : « Mieux vaut un courant d’air qu’un air vicié ! »